État, régions, départements et municipalités, tous ont lancé et continuent d'appliquer des plans de relance financés par l'endettement ?
Est-ce une solution efficace à la crise ?
Un des buts avoués est de sauver l'emploi, est-il atteint ou en voie de l'être ?
D'énormes liquidités ont été créées par les banques centrales pour sauver les banques engagées dans des spéculations hasardeuses et des prêts à risques ?
Tout cela met sur le marché des quantités inimaginables de possibilités de règlement, à quoi ces sommes énormes sont - elles employées ?
Ne risque-t-on pas de voir repartir l'inflation (dont la spéculation est l'une des manifestations) des actifs de toutes sortes et spécialement des plus liquides?
L'argent ne tourne-t-il pas en rond ? Les fonds prêtés par les États et les banques leur revenant en grande partie par la souscription de leurs emprunts, le reste relançant la spéculation sur les matières premières, sans déclencher, du moins en Europe, d'investissements porteurs d'avenir et d'emplois !
4 commentaires:
Où voulez-vous en venir avec toutes ces questions ?
Il n'y a pas que l'identité nationale dans la vie.
La situation économique ne vous préoccupe point ?
Moi si ; je crois que l'on nous raconte des histoires pour enfants, y compris d'ailleurs les alarmistes de la dette publique, tandis que d'autres agissent et pas dans notre intérêt !
A écouter vos amis, tout irait si bien au point de se préoccuper de sujets bien plus importants tels que la santé de Johnny ou de l'identité nationale.
Votre texte est ambigu c'est pourquoi je demandais des éclaircissements. J'ai même cru un moment que vous attaquiez l'idée d'emprunt ce qui aurait été un comble.
Je n'attaque pas du tout le concept de l'emprunt ; tout au contraire .
Je suis furieux contre les ânes qui disent et écrivent qu'emprunter , c'est faire appel au contribuable alors que c'est l'inverse.
L'emprunt d'État récupère des liquidités disponibles sur le marché et allège ainsi l'appel aux contribuables surtout les plus modestes qui ne peuvent lui échapper!
Le problème est dans l'emploi des liquidités disponibles§
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