Devant le désastre national mais encore plus local que les élections cantonales sont pour notre famille politique, il faut admettre la responsabilité de notre mouvement et ne pas accuser les circonstances, les adversaires.
Si nos candidats n'ont pas rencontrés les résultats espérés, c'est qu'ils n'étaient pas adéquats car choisis par des coteries en dépit de tout bon sens et de toute continuité dans l'action.
Les prétentions d'un petit groupe d'acariâtres pour lesquels l'action politique se résume à m'évincer de la vie politique nazairienne par n'importe quel moyen, inclus les mensonges les plus odieux, ont échoué du fait de leur propre inconsistance et de la haine même qu'ils sèment ; Le départ des 3 ou 4 importés qui prétendaient nous démontrer leur supérieur habileté ne suffira pas à effacer les plaies.
La réconciliation passe par une rénovation plus fondamentale : le regroupement des énergies, en vue de stopper la désolante politique municipale et communautaire qui tue notre ville, passe par la mise à l'écart des partis nationaux, de leurs antennes nantaises et de leurs "experts".
Un mouvement politique local, ouvert tant aux encartés de la droite et du centre qu'à ceux qui ne le veulent en aucun cas, doit s'organiser rapidement à l'écart des chapelles existantes, écouter nos concitoyens, les respecter et non les contraindre, bâtir un avenir de développement de notre communauté ; c'est le but de l'initiative que vient de prendre Philippe Frèche.