On avait cru pendant longtemps, du côté des écolos « de base », que la défense de l’environnement était né d’une prise de conscience progressive des individus face aux errements de l’industrialisation et à ses conséquences quelquefois désastreuses en terme de qualité de vie (eau, air, terre, animaux, santé, etc.), relayée peu à peu par les instances internationales par la volonté, le militantisme, le lobbying des plus déterminés d’entre eux
mais on a découvert récemment que les programmes mondiaux de l’ONU et les ONG comme WWF étaient nés de la volonté de quelques puissants de ce monde de mettre en place un ordre malthusien quasi Orwellien, en utilisant les instances supra-nationales qu’ils ont aidé à créer pour, sous prétexte de défendre la Nature contre l’Homme qui la souille, mettre en coupe réglée les Etats, l’économie et les consommateurs-citoyens.
La réalité historique de la naissance de l’ONU jusqu’à des raouts comme Copenhague ou Cancun bis bientôt n’étant que la mise en place de ce programme né avec le PNUD qui a généré le GIEC et décliné à tous les niveaux de la vie collective internationale : ainsi, croire que remplacer la taxe carbone française par une taxe européenne sert à s’en débarrasser en douceur est une erreur. Au contraire il s’agit bien in fine d’établir une taxe mondiale déclinée par entités continentales. Ceux qui ne me croient pas n’ont qu’à attendre les prochaines décisions de la Commission de Bruxelles…
1 commentaire:
L'abandon de la taxe Carbone, pour positif qu'il soit, ne résulte que des jeux de la politique et du hasard, et pas d'une authentique prise de conscience officielle des faiblesses de moins en moins contestables des justifications des politiques "anti-carbone".
http://www.objectifliberte.fr/
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