Pour se faire élire,
et rester au pouvoir, les gouvernements ont cédé aux groupes de pression les
plus puissants, avantages, exonérations, cadeaux fiscaux, retraite à 60 ans,
etc.
Monsieur Hollande,
brillant produit de l'ENA, se faisant élire avec les voies de la gauche, occulte
les raisons de la crise, pour ne pas avoir à expliquer qu’il soutient le système
qu’il prétend combattre.
Dans ce contexte
d’irréalisme, le Parti Socialiste à l’outrecuidance d’affirmer qu’il peut
résoudre les contradictions du système qui a retiré à l’État sa souveraineté
alors qu'il soutient cette évolution.
Les socialistes, en
passe d’avoir tous les pouvoirs, ne pourront rien modifier en profondeur. Ils
seront mal à l’aise même sur de petites choses; par exemple, vont-ils remettre
en cause la suppression de la taxe professionnelle ?
Les socialistes se
leurrent, nous leurrent ; la pression fiscale va s’aggraver sur ceux qui
entreprennent et qui travaillent ; les aides sociales et les retraites à taux
plein vont diminuer, pour ceux qui ne travaillent pas ou plus. Tandis que les
charges vont augmenter pour tout le monde.
Cela entraînera
appauvrissement et précarité, détérioration de la France active des PME-PMI, des
commerçants et des agriculteurs.
Le PS qui aura la
présidence de la République, le Sénat, les régions, voire l’Assemblée Nationale
portera , pour n'avoir rien compris à la crise, la responsabilité de la fin du
modèle social français et de tout dynamisme économique.
Nicolas Sarkozy est le
11° dirigeant de l’Union européenne à tomber, depuis la crise de septembre
2008. Son score est le meilleur de tous les sortants européens ; il laisse
intact son discours et son programme. Les droites doivent le
conserver."
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