Julien Bouliou de "l'écho de la presqu'ile" , fort civilement, et, de manière agressive, un internaute se couvrant du pseudo de Winston s’inquiètent de ma position après l'excellente intervention de Borloo, la semaine dernière où celui-ci a annoncé son départ prochain de l'UMP.
J'ai répondu au premier :
"Y a pas le feu au lac! Le congrès du Parti radical se tient à la mi mai.
L'action de Borloo ouvre des perspectives susceptibles de bouleverser aussi la scène locale et d'en reclasser les acteurs.
Au delà de conséquences partisanes organisationnelles, c'est le contenu, l'axe d'une politique pour notre pays qui me décidera comme tous mes concitoyens probablement !"
Les positions agressivement écologistes de Borloo me déplaisent ; les lecteurs de ce blog savent bien que je considère que le "grenelle de l'environnement" est une erreur dont nous n'avons pas fini de payer les conséquences.
Mais il s'agit là d'une politique du Président Sarkozy que NKM poursuit avec acharnement; seul de temps en temps, Fillon freine un peu!
Or le soutien à la politique d'un homme ou d'une formation vise l'ensemble de ses actions, même si isolément l'une ou l'autre peuvent déplaire!
Pour l'instant je soutiens toujours le président Sarkozy pour l'ensemble de son œuvre et spécialement des actions comme la réforme constitutionnelle, avec une mention particulière pour la question prioritaire de constitutionnalité, la réforme universitaire, celle des collectivités ( mais je me serais bien passé du remplacement de la TP) etc.
Les propositions de méthode de Borloo, l'idée même de "république des solutions, me plaisent bien.
S'agit-il d'une réorganisation de ce qu'on appelle la droite et le centre pour mieux tenir compte de leur diversité ou bien est-ce la mise en place d'une candidature concurrente à celle de NS ?
A défaut d'y voir clair, je pourrais toujours suivre en militant discipliné la décision du congrès ; Quoique !
Cela ne changera rien au fait que la liste que j'ai emmené pour la campagne municipale à SN s’appelait SNAlternance, que ma candidature était celle d'un membre de l'UMP par l’intermédiaire du parti radical tant à la tête de cette liste que le même jour sur le canton Ouest. On ne peut modifier le passé et les électeurs m'identifient ainsi comme représentant de l'UMP.
Qui vivra, verra !
Qui sera, saura !
Qui sera, saura !
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