"L'une des inepties les plus coûteuses à avoir déferlé sur le monde ces dernières années est, sans conteste, le mythe du réchauffement global créé par l'homme.
On pourrait penser que cette ineptie, en ces temps de difficultés économiques, est reléguée dans le révolu. Ce n'est malheureusement pas le cas.
Trop de gouvernements ont investi des fortunes dans une propagande médiatique incessante, dans des travaux publics et des remodelages urbains grandiloquents, pour que la machine lancée soit arrêtée. Trop de budgets sont en jeu. Trop de beaux parleurs, de conseillers du prince, de journalistes, de scientifiques stipendiés sont impliqués.
Il y aura donc, d'ici la fin de cette année, une grande conférence organisée à Copenhague. Il s'agira de définir un traité censé succéder au protocole de Kyoto. Cela se fera sous l'égide de l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies.
Il y aura donc beaucoup de statistiques aussi sérieuses, à coup sûr, que les déclarations sur les droits de l'homme faites par la même organisation ! Pour préparer, une réunion a été récemment organisée, appelée « sommet d'urgence sur le changement climatique ». L'alarmisme de rigueur y a régné, cela va de soi.
Il a été affirmé que le niveau des mers allait, au XXIe siècle, monter de manière vertigineuse, que les forêts tropicales allaient disparaître, et que la fonte des glaces s'accélérait sans cesse.
Nul n'a dit que la planète risquait de bientôt tourner en sens inverse si le développement économique n'était pas stoppé immédiatement, mais au degré de débilité où nous en sommes déjà, cela finira par venir.
Juste avant les élections européennes, un film d'épouvante signé Yann Arthus-Bertrand a été montré à la télévision, aux fins de doper les listes « vertes » et de faire des « écologistes» le courant d'opposition principal à une UMP, elle-même de plus en plus « verte ».
Lors du récent G 8, il a été déclaré que, pour sauver la terre, « les huit pays les plus riches de la planète entendent agir pour diviser par deux les émissions mondiales de gaz à effet de serre d'ici 2050 ». Pour les « pays industrialisés », l'objectif est de diviser les émissions par cinq.
Au même moment, a été organisé à New York un autre sommet dont les médias n'ont pas parlé. On y trouvait le seul chef d'État européen pour lequel j'ai une réelle estime, Vaclav Klaus, Président de la République tchèque et auteur d'un livre que mon ami Jacques Garello vient de faire paraître en France : « Planète Bleue en Péril Vert».
On y trouvait aussi la plupart des grands scientifiques qui ont consacré leurs recherches à la climatologie. Des exposés très précis ont montré à l'auditoire que les modèles informatiques utilisés par l'IPCC laissent de côté tant de paramètres que leurs résultats sont sans cesse réfutés par les données vérifiables tirées de l'observation de la réalité : les températures moyennes sur terre, censées monter chaque année, sont, depuis une décennie, à la baisse.
Le niveau des océans continue à s'élever au rythme où il s'élève depuis plus de deux siècles : trois millimètres par an. La calotte glaciaire antarctique ne fond pas, et il n'y a pas de diminution globale des glaces sur la terre. Les orages et ouragans tropicaux sont à leur niveau d'activité le plus bas depuis trente ans.
Le plus inquiétant, a dit Vaclav Klaus, n'est pas que les gouvernements gaspillent des fortunes au nom d'un réchauffement qui n'existe pas. Ce n'est pas même qu'ils financent ainsi des milliers de gens sans scrupules qui intoxiquent les opinions publiques et détériorent gravement la vie quotidienne de millions de gens.
Ce n'est pas même qu'en faisant cela, ils condamnent à mort des centaines de milliers de gens dans les zones pauvres du monde. C'est que nombre d'hommes politiques semblent croire à ce qu'ils disent et paraissent être fermés à des raisonnements scientifiques scrupuleux.
Croient-ils vraiment ce qu'ils disent ? Sont-ils vraiment fermés aux raisonnements scientifiques scrupuleux ? Ou doit-on penser ce que je pense : à savoir que trop d'argent a déjà été investi, et que trop de gens stipendiés sont impliqués ? Le nazisme, le fascisme et le communisme ont tué et débouché sur des génocides au XXe siècle. L'islamisme est loin d'être mort. Le totalitarisme écologiste est bien vivant."
On pourrait penser que cette ineptie, en ces temps de difficultés économiques, est reléguée dans le révolu. Ce n'est malheureusement pas le cas.
Trop de gouvernements ont investi des fortunes dans une propagande médiatique incessante, dans des travaux publics et des remodelages urbains grandiloquents, pour que la machine lancée soit arrêtée. Trop de budgets sont en jeu. Trop de beaux parleurs, de conseillers du prince, de journalistes, de scientifiques stipendiés sont impliqués.
Il y aura donc, d'ici la fin de cette année, une grande conférence organisée à Copenhague. Il s'agira de définir un traité censé succéder au protocole de Kyoto. Cela se fera sous l'égide de l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies.
Il y aura donc beaucoup de statistiques aussi sérieuses, à coup sûr, que les déclarations sur les droits de l'homme faites par la même organisation ! Pour préparer, une réunion a été récemment organisée, appelée « sommet d'urgence sur le changement climatique ». L'alarmisme de rigueur y a régné, cela va de soi.
Il a été affirmé que le niveau des mers allait, au XXIe siècle, monter de manière vertigineuse, que les forêts tropicales allaient disparaître, et que la fonte des glaces s'accélérait sans cesse.
Nul n'a dit que la planète risquait de bientôt tourner en sens inverse si le développement économique n'était pas stoppé immédiatement, mais au degré de débilité où nous en sommes déjà, cela finira par venir.
Juste avant les élections européennes, un film d'épouvante signé Yann Arthus-Bertrand a été montré à la télévision, aux fins de doper les listes « vertes » et de faire des « écologistes» le courant d'opposition principal à une UMP, elle-même de plus en plus « verte ».
Lors du récent G 8, il a été déclaré que, pour sauver la terre, « les huit pays les plus riches de la planète entendent agir pour diviser par deux les émissions mondiales de gaz à effet de serre d'ici 2050 ». Pour les « pays industrialisés », l'objectif est de diviser les émissions par cinq.
Au même moment, a été organisé à New York un autre sommet dont les médias n'ont pas parlé. On y trouvait le seul chef d'État européen pour lequel j'ai une réelle estime, Vaclav Klaus, Président de la République tchèque et auteur d'un livre que mon ami Jacques Garello vient de faire paraître en France : « Planète Bleue en Péril Vert».
On y trouvait aussi la plupart des grands scientifiques qui ont consacré leurs recherches à la climatologie. Des exposés très précis ont montré à l'auditoire que les modèles informatiques utilisés par l'IPCC laissent de côté tant de paramètres que leurs résultats sont sans cesse réfutés par les données vérifiables tirées de l'observation de la réalité : les températures moyennes sur terre, censées monter chaque année, sont, depuis une décennie, à la baisse.
Le niveau des océans continue à s'élever au rythme où il s'élève depuis plus de deux siècles : trois millimètres par an. La calotte glaciaire antarctique ne fond pas, et il n'y a pas de diminution globale des glaces sur la terre. Les orages et ouragans tropicaux sont à leur niveau d'activité le plus bas depuis trente ans.
Le plus inquiétant, a dit Vaclav Klaus, n'est pas que les gouvernements gaspillent des fortunes au nom d'un réchauffement qui n'existe pas. Ce n'est pas même qu'ils financent ainsi des milliers de gens sans scrupules qui intoxiquent les opinions publiques et détériorent gravement la vie quotidienne de millions de gens.
Ce n'est pas même qu'en faisant cela, ils condamnent à mort des centaines de milliers de gens dans les zones pauvres du monde. C'est que nombre d'hommes politiques semblent croire à ce qu'ils disent et paraissent être fermés à des raisonnements scientifiques scrupuleux.
Croient-ils vraiment ce qu'ils disent ? Sont-ils vraiment fermés aux raisonnements scientifiques scrupuleux ? Ou doit-on penser ce que je pense : à savoir que trop d'argent a déjà été investi, et que trop de gens stipendiés sont impliqués ? Le nazisme, le fascisme et le communisme ont tué et débouché sur des génocides au XXe siècle. L'islamisme est loin d'être mort. Le totalitarisme écologiste est bien vivant."
Milliere Guy - jeudi 23 juillet 2009 In http://www.les4verites.com/
1 commentaire:
Invoquer des arguments soit disant scientifiques qui ont mis en évidence que l’augmentation de 300 à 400 ppm d’un gaz nécessaire à la vie provoquerait un soit disant réchauffement qui induirait d’éventuelles catastrophes dans un avenir plus ou moins lointain et prétendre dans la même phrase que l’on va limiter la hausse de température à une valeur déterminée à une date fixée par des politiques par le truchement d’une taxe franco-française relève de l’imposture pure et simple.
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