"...
Cette question des médecins africains dans l'UE est révélatrice de ce «
grand remplacement » qui se fait à tous les niveaux de la société et que
certains considèrent comme un « fantasme ». En 2008, le président
sénégalais Abdoulaye Wade la qualifia de « pillage des élites des pays
en voie de développement », ajoutant « (...) ce n'est pas honnête de
vouloir prendre nos meilleurs fils ».
Disons le clairement, cette nouvelle forme de la traite des Noirs, porte
sur les plus précieux des Africains, ses diplômés, et elle se fait avec
l’habituelle complicité des « gentils » de l’anti-ségrégation et des
requins du capitalisme associés pour la circonstance. Au nom du
paradigme de la culpabilité qui les hante, les premiers s’interdisent de
voir qu’en les accueillant, ils saignent l’Afrique. Les seconds les
encouragent à venir au nom des lois du marché, du travail global et de
la mobilité de la main d’œuvre...."
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