« Soyez donc résolus à ne plus servir et vous serez libres. » Étienne de la Boétie dans "la servitude volontaire" ou "Contr’Un" 1549.

- Le droit de l’État est l'opposé de l'état de droit -
« La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n’est aux faits eux-mêmes, parce que, pour elle, se soumettre, ce serait cesser d’être » (Henri Poincaré)

"Ce qui rend la corruption ou la médiocrité des élites si funeste, c'est la solidarité qui lie entre eux tous leurs membres, corrompus ou non corrompus, dans la défense du prestige commun." Georges Bernanos

Sourate 9, verset 29 «Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés»
Sourate 60, verset 4 :"Entre vous et nous, l'inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul"
3,28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » fondement de la taqqya. ou bien Sourate 5, Al-Mâ’idah, La Table servie, verset 51 :« Ô les croyants ! Ne prenez pas pour amis les Juifs et les Chrétiens ; ils sont les amis les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour amis devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes »
Sourate 47 verset 4 : "Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru frappez-en les cous. Puis, quand vous les avez dominés, enchaînez-les solidement. Ensuite, c'est soit la libération gratuite, soit la rançon, jusqu'à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait, Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c'est pour vous éprouver les uns par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d'Allah, Il ne rendra jamais vaines leurs actions."
Nul ne peut rester indifférent devant la propagation, sous prétexte religieux, du pire système social ! Si on combat l'esclavage, la soumission des femmes, la peine de mort, les châtiments physiques cruels et mortels, l'interdiction de l'homosexualité, etc. on combat l'islam!
Sourate 17 verset 104: "Nous dîmes aux enfants d'Israël : Habitez cette terre. Puis lorsque la promesse dernière se réalisera ( c'est à dire à la fin des temps) , Nous (Allah) vous ramènerons (en Terre Sainte) en foule mélangée "
Sourate 33 verset 59
"O Prophète! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles: elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux."

Il ne faut jamais nier à l’ennemi la capacité à être plus intelligent que soi"
"La gauche a toujours, depuis 1793, endossé, sous le couvert de la vertu, les habits de la Terreur." M° Frederic Pichon

Dans tous les pays où les musulmans sont minoritaires, ils sont obsédés par les droits des minorités, dans tous les pays où les musulmans sont majoritaires, il n'y a PAS de droits des minorités.

lundi 30 juillet 2012

Quand l’Europe sera musulmane...

Commentaire de l’ouvrage de Chritopher Caldwell sur le site d'Alain Dumait

Une révolution sous nos yeux. Comment l’islam va transformer la France et l’Europe.
cliquez sur l'un des liens


Quand l’Europe sera musulmane, sera-t-elle encore l’Europe ? La réponse est évidemment non !…

dimanche 29 juillet 2012

Marx et les banquiers.

Trouver sur le net ici (Cliquez pour suivre le lien) où je me promène compte tenu de l'averse en cours à SN ce dimanche à 10h:


"Tout le monde sait que Karl Marx a popularisé une forme politique inspirée du socialisme et du communisme : le marxisme.
Mais quelles sont les raisons du succès de ce « marxisme » ?
Marx a d'abord été proche de penseurs anarchistes comme Proudhon avant de s’en éloigner pour se focaliser sur sa critique du « capitalisme ».
Beaucoup d'observateurs ont mis en évidence les relations entre Marx et d'autres intellectuels plus discrets et ont soupçonné Marx de s’être approprié quelques-uns de leurs travaux, ils mettent notamment en évidence dans les écrits de Marx des plagiats de textes de Victor Considerant.
Anthony Sutton ainsi que Pierre Hillard plus récemment ont souligné les liens de Karl Marx avec le monde de la banque, au point de suspecter que l'ouvrage "le Capital" n’ai été qu’une commande de banquier. Ceci permet, en tout cas, d’expliquer pourquoi une théorie aussi stérile que le marxisme a pu être diffusée aussi efficacement et rencontrer une écoute aussi large.
Ce qui est sûr c'est le résultat : le marxisme a efficacement occulté le mouvement communiste anarchiste.
Pour les anarchistes, le problème central de notre organisation économique c'est la monnaie et la banque.
De l’ "anarchie" on ne garde en général que l'image brutale de quelques braqueurs de banque.
Mais la pensée anarchiste était avant tout la recherche d'une organisation sociale sans le pouvoir. Pouvoir politique, mais surtout pouvoir des banquiers et de leurs monnaies.
La recherche de l’ordre sans le pouvoir.
Le marxisme a permit de détourner la rancoeur populaire vers une nouvelle cible : "Le capitalisme".
Un concept « le capital » et une classe intermédiaire « les capitalistes » ont été désignés comme responsables du malheur des peuples.
A aucun moment Marx n'a remis en question le pouvoir monétaire du système bancaire.
La mise en pratique du marxisme que nous avons pu observer en URSS a permis d’expérimenter la disparition de cette classe intermédiaire. Le marxisme soviétique a mis face à face, le peuple dépendant de l'argent distribué par "la banque" sous forme de salaire, et une organisation centrale disposant de tous les pouvoirs organisée autour de la banque unique.
"Le communisme : une vaste entreprise capitaliste" c’est une plaisanterie classique, mais c’est bien une vérité, puisque le "capital" c’est simplement la valeur économique d'une entreprise industrielle, et plus largement : la valeur économique cumulée de toute l'industrie.
Désigner le « capital » ou le « capitalisme » comme un obstacle à supprimer est stupide.
La vrai question que l'on doit se poser, c'est : à qui appartient ce capital ?
Dans notre capitalisme bancaire de ce début de XXIe, le capital est réparti entre les mains d'une toute petite partie de la population.
Les règles arbitraires de la création monétaire permettent d’orienter la propriété de ce « capital » vers une caste restreinte qui ne joue même pas de rôle dans la productivité et dans la création des richesses.
Dans le modèle marxiste soviétique le capital théoriquement propriété du prolétariat était dans la pratique en totalité entre les mains de la "nomenklatura" au pouvoir, et cela sans aucune forme de concurrence ou d’émulation productive.

Le « Capital » c’est la propriété de l'outil industriel.
Si on veut garder une organisation industrielle, on doit déterminer qui en est propriétaire et responsable et donc s’accommoder d’une forme ou d’une autre de « capitalisme ».
On ne peut se débarrasser du « capitalisme » qu'en renonçant à l'organisation industrielle.
Si on veut éviter un déséquilibre riche/pauvre, on doit déterminer des règles pour équilibrer la propriété de ce « capital ».
Le fait d'avoir des pauvres et des riches n'est pas spécifique à l’économie capitaliste, la plupart des sociétés humaines connaissent ce déséquilibre.
Il est tout à fait possible d’envisager une forme de capitalisme équilibré.
Le pilotage des entreprises nécessite de grandes compétences, la propriété de ces entreprises n’en nécessite qu’une : le souci de la rentabilité.
Tout individu est attaché à la rentabilité de sa propriété, ce n’est pas une caractéristique exceptionnelle du banquier, même si celui-ci est souvent plus cupide que la moyenne.
En ventilant les parts de propriété du « capital » sur toute la population, on peut obtenir une même vigilance de la rentabilité.
Dans notre économie bancaire la richesse est créée par la monnaie et donc par la banque. Au final, que ce soit par la voie marxiste ou par la voie du capitalisme bancaire, le « capital » se retrouve propriété d'une minorité qui utilise « la banque » comme aspirateur de la productivité.
Cette propriété due à la création monétaire est une simple convention d’organisation.
La monnaie injectée par les banques pour financer une activité représente une anticipation économique collective.
La logique est que cette propriété générée par cette monnaie soit collective.
Ceux qui ont le mérite de produire et d’optimiser la productivité doivent bénéficier du privilège économique qu'ils leur est dû. Pour le reste, chaque individu doit disposer d’une part du « capital » généré par la création monétaire, chaque individu perçoit alors les revenus de cette part, et devient responsable de la gestion de l’outil industriel à hauteur de cette part., comme tout copropriétaire actionnaire.
Le deséquilibre du "Capitalisme", peut donc être corrigé en introduisant une nouvelle logique de création monétaire.
Il faut donc revenir au problème soulevé par les anarchistes et occulté par le marxisme : trouvé une alternative aux banques et à leurs monnaies.
Le succés du marxisme est essentiellement dû à l'intervention de banquiers qui on on eu l'idée d'instrumentaliser à leurs profits, les travaux de Marx.

Le Marxisme est principalement une opération de diversion entretenue par des banquiers pour détourner l’exaspération populaire vers un ennemi conceptuel imaginaire : le « Capital »

mardi 24 juillet 2012

Rafle du vel d'hiv..

Les 7 erreurs de François Hollande

 dévoilées par "Hérodote"

Dans son discours de ce dimanche 22 juillet 2012, en commémoration de la rafle du Vél d’Hiv (16 juillet 1942), le président de la République française a commis sept erreurs d'Histoire.
Les voici dans l’ordre d’apparition, explicitées par l'historien franco-israélien Alain Michel :
[voir aussi : Le discours de François Hollande    le blog d'Alain Michel]

Vichy met en œuvre des réactions à l’affaire Dreyfus, à la politique anticléricale d'avant 1914, à la séparation de l’église et de l’État ; il ne faut pas isoler Vichy de notre histoire.
Quand à l'antisémitisme, s'il a peut être changer de modes d'expression et de milieux porteurs, il est toujours bien là, malheureusement!

De l’état de la République,


Le service municipal de la communication nous demande l'éditorial que vous lirez en septembre pour le 25/07.
Ci-dessous, le texte que je leur transmet ce jour:

De l’état de la République,

de notre avenue dans sa partie sud, de notre centre-ville, le fameux "cœur carré". 

25 ans après la livraison du « Paquebot » en 88 et la refonte de l’avenue, la sérieuse réfection, la restauration qui s’impose devrait voir le jour en 2013 à la suite des travaux de voirie pour les bus.
Nous nous en félicitons, mais cela sera-t-il suffisant pour dynamiser notre centre-ville ?

On peut en douter devant certains comportements et les contradictions de la politique d’urbanisme ; lorsqu’à 10 h du matin un restaurateur pose ses poubelles au milieu de l’avenue, lorsque s’amoncellent les mégots devant un autre, lorsque mendiants et trafiquants s’installent à demeure dans des lieux de passage, lorsque chaussées et trottoirs sont maculés et découpés de reprises, la flânerie, la recherche des bonnes affaires vont ailleurs ! 
Si de plus les emplois tertiaires publics territoriaux (Région, département, Carene, Stran et fédérations) s’enfuient tout comme les médecins, s’installent alors des commerces pour pauvres, transformant totalement la nature de ce qui fût notre centre-ville.

Il a été poursuivi avec entêtement depuis 30 ans une politique de périphérisation des activités, mais aucune mise en valeur globale d’un centre-ville sous peuplé et peu dense qui aurait pu loger le haut de la classe moyenne et continuer à abriter le tertiaire public et médical. Une opération de sauvetage, faisant la part belle à l’initiative privée, devra être lancée dès le début du prochain mandat si cesse, en 2014, 89 ans d’emprise socialiste sur notre ville.


mercredi 18 juillet 2012

Ouvrons le débat

Chers amis, 

La France et l'Europe sont dans une situation critique. Le nouveau Président et sa majorité prouvent tous les jours leur incapacité à y répondre faute de solutions réalistes et responsables. Pour affirmer notre opposition et préparer la reconquête, il nous appartient de bâtir ensemble une alternative solide. 

Il y a à l'UMP des différences d'opinion et chacun a sa part de vérité. Aujourd'hui mon rôle c'est de vous écouter pour construire avec vous un projet d'alternance. Ce projet ne peut pas être le fruit de compromis et de prudences tactiques. Il doit être à la hauteur des enjeux et le socle de notre rassemblement. 

J’irai dans les semaines et les mois qui viennent à votre rencontre partout en France pour débattre de notre projet et de l’organisation de notre mouvement. Mais j'ai souhaité ouvrir, dès cet été, une réflexion collective sur Internet et les réseaux sociaux, espaces de débat à la hauteur de nos ambitions démocratiques. 

J'en appelle dans cet exercice de démocratie interne à votre indépendance d’esprit et à votre sens de l’intérêt national.
Merci à chacune et chacun de sa contribution au débat. 

Bien fidèlement. 

François Fillon 

mercredi 11 juillet 2012

Présentation de la mesure de la Délinquance (suite)

Le rapport sur l'année 2011 est en ligne ici sous l'onglet observation et études, chapitre social et démographie ; Tout un chacun peut donc en prendre connaissance et le télécharger.
Vous pourrez apprécier l'habile formulation du commentaire tendant à asséner que l'année 2011 est une rupture par rapport à la hausse des années précédentes alors que l'examen des chiffres et graphiques fournis montre une réalité nettement plus contrastée et même en franche opposition dés lors que l'on vise les atteintes aux personnes.
A titre d'exemple ce graphique extrait de la page 6 du rapport de l'ADDRN :

Le nombre d'atteintes aux personnes a très légèrement baissé entre 2010 et 2011, mais il reste supérieur à toutes les années précédentes.
Attention ce tableau est en indice, base 100 en 2002, semble-t-il? Il signifie donc que les atteintes aux personnes, qui ont doublé depuis 2002, restent bien au niveau atteint ( passage de 400 à 800/an)
Une lecture plus attentive des explications fournies indique, par ailleurs, que,
1) il y a un changement des règles d'enregistrement pour les escroqueries et autres en 2009,
2) que le recul des atteintes aux biens est du en grande partie à la baisse des vols de voiture
3) que le recul 2010/2011 des atteintes aux personnes est du au recul des violences non crapuleuses ce qui est rassurant, certainement.

L'UNI Saint-Nazaire ouvre son site

C'est ici cliquez sur le lien pour mieux connaître ce mouvement, odieusement caricaturé par la gauche, car il essaye de faire progresser les valeurs et politiques de droite dans un domaine où la Gôche prétend au monopole !

dimanche 8 juillet 2012

Nous, le FN et les socialos



Contribution* aux débats pour préparer l'avenir de la nation  (empreinte dominante d'un peuple et d'une culture sur un territoire):

Les valeurs de l'UMP sont parfaitement connues et tranquillement affirmées : Liberté, Responsabilité, Solidarité, notre Nation, l'Europe.

Ce ne sont pas les mêmes que celles des socialistes même lorsqu'elles portent le même nom ; on voit bien que la liberté chez nous couvre des champs infiniment plus étendus que chez eux qui n’admettent ni la liberté d'entreprendre (qui a tiré l'humanité de sa misère) ni la liberté d'exprimer d'autres opinions que les leurs.
Mais les valeurs ne sont que des phares qui éclairent les citoyens, qui permettent de définir les politiques.

Et dans les politiques proposées ou suivies, les rapprochements ne sont pas ceux qu’ils affirment : sur la politique économique, par exemple, peu de différence entre eux et le FN, beaucoup avec moi ; sur l'Europe, une grande partie de leur électorat et certains de leurs alliés la refusent dans des termes fort proches du FN. Sur la politique pénale, j'ai aussi peu à voir avec le FN qu'eux! Par contre sur la préservation de la nation face à l'immigration de masse, je partage non des valeurs, non des solutions, mais le diagnostic alors qu’eux se voilent la face ;

Le PS agit envers les PC, Front de Gauche, pastèques et autres, comme nous avec le FN : les faire disparaître chaque fois que possible en répondant directement aux préoccupations de leurs électorats, les supporter quand on ne peut faire autrement ; La différence est que eux, les socialos, n'hésitent pas à les embrasser sur la bouche en partageant les places. (On n'est pas partageux à droite, c'est vrai !)

Les socialos acceptent de collaborer au gouvernement comme dans les collectivités avec des gens (ce qui ne m'empêche pas d'apprécier par ailleurs les qualités de certains) qui pratiquent collectivement la voie de fait, la violence contre les décisions des organes élus, contre le débat, contre le respect de la loi et des choses jugées ; les manifestations des antiaéroports, ici, en 44, les exactions des antiOGM ailleurs !
Ni les nôtres, ni les centristes, ni le FN n'ont de tels comportements.
Nous respectons le résultat des élections et les décisions légalement prises en ne les contestant que par les voies de droit et la diffusion de notre point de vue. C'est cela le vrai front républicain !
Celui que respectait profondément Mendés-France lorsqu'il refusait les voix communistes qui pouvaient éviter la chute de son gouvernement.
(Je n'irais pas plus loin dans les allusions historiques)

Ce n'est pas la droitisation du discours qui fait perdre l'UMP, c'est le manque de droitisation de ses actes de gouvernement.
Notre ligne actuelle permet de contenir la poussée du FN. Si nous l'abandonnons pour des mirages centristes, il fera 25 % la prochaine fois et les socialos seraient alors confirmé au pouvoir ; Notre pays n'en a pas besoin ! La nation, déjà en péril, pourrait disparaître.

*Contribution aux débats de l’automne pour préparer l‘action de notre mouvement pour l'avenir de la nation

mercredi 4 juillet 2012

Des titres des journaux et de la délinquance à Saint-Nazaire

"La délinquance s'essouffle dans l'agglomération"

titre Ouest-France sous la plume de Cyrille Pitois ; mais si l'on poursuit la lecture de l'article on découvre que " les atteintes aux personnes ont quasiment doublé depuis 2005"
Nos concitoyens se félicitent certainement que les atteintes aux biens aient un peu diminué mais ce qui leur importe c'est la sécurité physique des leurs et d'eux-mêmes.
De ce point de vue un doublement des faits recensés est une très mauvaise nouvelle qui devrait préoccuper nos édiles et nos fonctionnaires de justice et police; le moment n'est pas à l'autocongratulation, n'est ce pas M. Cotta ? 
N'y aurait-il pas, aussi, une désinformation par omission ou plutôt par information incomplète ? on nous parle de 580 mineurs de 18 ans mises en cause, ce qui aurait été réellement intéressant était le type d'infraction qui les amenait là. Seraient-ils responsables comme sur le pays entier de prés de 45% des agressions ?

Donc le ton du Figaro était inacceptable, nous l'avions dit et répété, mais la présentation des faits par M. Cotta, es qualité de président du conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance, est fallacieuse pour le moins, de nature à induire en erreur sur la situation. Cela ne vaut pas mieux !

Le rapport 2011 n'est pas encore disponible sur le site de l'addrn mais on peut y trouver celui de 2010 et quelques schémas présentant l'évolution depuis 2000 copiez le lien ci-dessous dans votre navigateur :
http://www.addrn.fr/fileadmin/user_upload/observatoires/demo_socio/delinquance_bilan10_carene.pdf

En 2010 il y avait eu 80 véhicules incendiés dans la circonscription de SN ; Personne a eu la curiosité de demander le chiffre de 2011 ?
De même il y avait eu 849 cas d'atteinte aux personnes le chiffre ayant augmenté il est de combien pour cette année 2011 !?

Sur ces questions de sécurité et leur rapport à l'urbanisme voir dans le courrier des maires  cliquez

lundi 2 juillet 2012

La révolution incolore

Un article d'Hugo Natowicz paru dans Rianovotsi le 29/06/12 sur l'évolution de notre pays 

Extraits

"...La résignation d'un nombre croissant de Français, que traduit notamment le phénomène de l'abstention électorale, n'est pas née de rien. Au niveau politique, la France parachève le processus de renoncement à sa souveraineté au profit d'entités supranationales, notamment dans le cadre de l'UE. Vaste processus entamé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'histoire de la deuxième moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle est celle du transfert du pouvoir des peuples vers les institutions européennes. Un dessein louable visant à protéger le monde de la violence des peuples, violence qui a marqué au fer rouge l'histoire du siècle passé..."


"...Comme l'indique l'émergence d'un vote ethnique (voir également cette analyse) lors de la dernière présidentielle, le rapport de forces démographique est désormais mûr pour un basculement vers une France communautarisée. Contrairement au mandat de Sarkozy, qui masquait derrière un discours de fermeté son inaction dans le domaine migratoire, l'arrivée des socialistes laisse penser que cette transition vers une "autre France" se fera de façon volontaire. Un premier pas historique est le projet visant à donner le droit de vote aux étrangers, au niveau local dans un premier temps, ce qui aurait rapidement des conséquences à tous les niveaux de l'Etat. Une démarche qui, loin de résoudre les problèmes, a toutes les chances d'approfondir les réflexes xénophobes et le repli sur soi de communautés que plus aucune idée supérieure ne reliera...."


"...Comme dans le domaine économique, où la crise est utilisée pour donner lieu à plus de fédéralisme, le schisme de la conscience française risque de servir de prétexte à une nouvelle fuite en avant, à un démantèlement en règle de l'idée de nation telle qu'on la connaissait jusqu'à présent (caractère central d'un peuple et de sa culture au sein d'un territoire). La France, et avec elle les pays d'Europe, est à la croisée des chemins. Une bataille douloureuse est sur le point d'éclater. La bataille contre les derniers bastions de résistance au déracinement de la souveraineté économique, politique, et culturelle.
Un grand saut par-delà l'idée de nation aux conséquences encore imprévisibles..."

Un point de vue différent mais vigoureux ici
 extrait :
"...Tant que des régimes islamistes séviront dans le monde arabe, l'Islam devra hélas être considéré comme un "ennemi de l'intérieur", pour la même raison que les communistes occidentaux furent suspects à nos yeux pendant la Guerre froide. De ce point de vue, si nous sommes globalement en 1944 dans le monde, nous sommes en 1905 en France : la laïcité doit être aussi fermement opposée à l'Islam, dans sa version actuelle, qu'elle le fut au catholicisme, dans sa version d'alors, à l'occasion de la séparation des Églises et de l'État. Certains principes de l'Islam ne sont, pour le moment, pas compatibles avec la démocratie libérale : la condamnation à mort des apostats, des artistes qui soi-disant blasphèment, des homosexuels, etc. Tant que les plus hautes autorités de l'Islam sunnite ne se seront pas clairement distanciées de tous les appels aux meurtres qu'induit leur interprétation actuelle du Coran, nous en serons les adversaires déterminés.
Je suis persuadé que l'Islam sera un jour une religion normale parmi les autres. Mais, en attendant, que les islamistes ne se fassent aucune illusion. Nous les combattrons sans merci, eux et les idiots utiles qui, au nom de la tolérance, écoutent encore poliment Tariq Ramadan"

dimanche 1 juillet 2012

Conseil du 29/6/12

Nos collègues socialistes nous exposèrent longuement leur politique de la jeunesse qu'ils disaient déterminée à la suite d'une procédure particulièrement démocratique et concertée de mise au point. Politique d'ailleurs très étendue car englobant aussi bien la construction du théâtre que la refonte des installations sportives !

Notre colistière Sandra Vandeuren devait leur faire remarquer, au nom de notre groupe, que quelque soit leurs efforts et leurs bonnes intentions, nous étions bien obligés de constater que selon leur propres chiffres, fournis dans la délibération, leur action ne touchait que quelques centaines de personnes (hors sport) sur les plus de 12 000 visées, alors même qu'ils prétendaient s'adresser à tous; que Saint-Nazaire n'avait ni une image, ni une réalité de villes de jeunes encore moins de ville jeune. Que d'ailleurs, c'était peut être même leur encadrement un peu trop serré de la jeunesse qui était, partiellement, à l'origine de cette situation!

Kevin Izorce devait être encore plus sévère : Se tournant vers le public où étaient présents, bien encadrés, quelques un des jeunes ayant participé à la concertation, il remarqua qu'ils s'agissaient de jeunes s’intéressant à la vie de la cité, comme lui au même âge, absolument pas représentatifs de la grande masse des jeunes de notre cité. Ces remarques ne furent pas réfutées par les socialos.


Seule question vraiment importante dans la suite des débats le compte administratif 2011 dont j'ai l'impression qu'il n'intéresse guère que votre serviteur, l'adjoint en charge et Josette Emonides.
Notons que, comme il l'avait précédemment promis, Olivier Richard donna au passage quelques éléments sur la gestion financière de la Carène; 
Je ne pus m’empêcher de noter que les attaques contre le gouvernement avait cessé alors qu'il s'agissait de 2011 où nous, et non eux, étions au gouvernement ; en réponse la majorité fit valoir qu’effectivement elle craignait que les quelques agglos industriels, dont nous étions, ne pussent se faire entendre et obtenir une modification du système qui avait substitué la TP; Satisfaction de ma part car je le leur disais depuis le début de la réforme.
Par ailleurs, je terminais en les remerciant de nous laisser une situation financière saine pour l'alternance démocratique que j'appelais de mes voeux pour 2014 ; ça ne leur a pas plus !


Enfin le débat sur les subventions au sport de haut-niveau pût s'appuyer sur la présentation d'un rapport, projeté à l’assemblée, décrivant la situation de chacun des clubs, heureuse innovation!
Je fis remarquer que le copier-coller amenait à proposer des délibérations identiques à des situations très différentes : En particulier, on ne pouvait avoir les mêmes exigences pour un club, le Rugby, ayant des joueurs et encadrants professionnels et un autre, celui de Kayak-polo reposant seulement sur des bénévoles.
Quoique ! peut être faut-il y voir l'annonce d'une évolution de la ville ; actuellement notre équipe de Kayak-polo est en première division (10°/15), il serait temps de se préparer en effet à une professionnalisation de l'encadrement qui existe chez ses concurrents voire à celle des joueurs.
J'informais d'ailleurs l'assemblée que Baptiste Cotta, fils de notre collègue socialiste , venait d'être sélectionné dans l'équipe de France qui participerait au championnat du Monde à Poznan à l'automne.