(A) Sur la nature réelle du GIEC:
1. Le GIEC n’est pas un organisme scientifique mais un organisme politique.
2.
Le GIEC entretient constamment une habile confusion des registres entre
science et politique, clamant publiquement sa neutralité mais œuvrant
activement pour l’adoption de mesures politiques idéologiquement
orientées.
3. Le GIEC est au cœur d’une puissante coalition d’intérêts particuliers.
4. Le GIEC refuse le débat scientifique argumenté avec les scientifiques opposés à ses thèses.
5. Le GIEC dénigre, calomnie et entrave la liberté d’expression de ceux qui ne partagent pas ses thèses.
(B) Sur les rapports scientifiques du GIEC
6.
Les concentrations atmosphériques mondiales de dioxyde de carbone n’ont
pas fortement augmenté en conséquence des émissions de dioxyde de
carbone liées à l’utilisation des combustibles fossiles depuis 1750.
7. L’élévation de la température moyenne globale du demi-siècle passé n’est pas atypique par rapport aux 1300 dernières années.
8.
Le CO2 provenant des combustibles fossiles ne contribue pas, en tout
cas pas significativement, à la hausse de température depuis le milieu
du 20ème siècle.
9.
La théorie du « changement climatique dû à l’homme » se base sur des
modèles ou simulations numériques avec tous les aléas, hypothèses et
approximations que de tels modèles comportent. Les modèles sont une aide
à l’analyse mais ils ne constituent en aucun cas une preuve
scientifique.
10.
Les observations mettent en évidence d’autres facteurs majeurs (soleil,
volcans, courants océaniques, nuages, etc.) dans l’évolution du climat,
dont le GIEC ne tient pas ou pas suffisamment compte.
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